A l'arrivée, nous franchissons une grande passerelle et choisissons un endroit ensoleillé, face au fleuve. Nous dévorons notre repas en écoutant les informations de Renée sur les ponts franchis, tout en profitant du soleil de cet automne étonnamment estival. L'île Clémentine a été agréablement aménagée pour offrir aux citadins des « dimanches à la campagne » : tables de pique-nique, bancs, sanitaires (hélas, très sales !!!).
La Loire, tout au long de notre parcours, nous présente des paysages différents … Ici des plaques de vase luisantes sous le soleil la parent de reflets argentés d'où jaillissent, parfois, des branches d'arbre mort, tels des bras suppliants. Ce fleuve indomptable a requis d'importants travaux de canalisation, mais il reste – et restera – un grand fleuve sauvage …à la force imprévisible.
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